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Ce samedi, c’est un air de rentrée qui régnait du coté de la Scène Bastille. Alors, oui, en ce moment les médias vous bassinent un peu avec la rentrée des classes, la semaine des quatre jours et demi et autres… Mais là c’est de la rentrée des concerts qu’il s’agit et la saison 2013-2014 s’annonce très bien sur Paris avec en guise d’introduction pas moins que T.A.N.K, Smash It Combo et Lokurah réunis sur la même scène ! Bref, une rentrée qui donne envie.

Et ça tombe bien parce que les parisiens étaient au rendez-vous, attendant patiemment l’ouverture des portes. Pas d’affluence record mais une bonne file de metaleux et métaleuses était déjà présente devant la salle. Le temps que l’heure arrive, nous patientons un petit peu pour cause de retard et nous voilà franchissant les portes pendant que les première notes des Lokurah résonnent.

Lokurah

_MG_3880Ils ne sont pas les plus connus de la soirée et ça se sent auprès public un peu fébrile au début du set. Mais très vite, le groupe rallie les spectateurs à sa cause. Et il faut dire qu’il y a de quoi : après leur intro, c’est directement sur leur titre phare « The Time To Do Better » que les Lokurah attaquent la scène Bastille. Sur scène, les musiciens sont au taquet et nous donnent un show de qualité. Julien, au chant, assure un bon contact avec le public tandis que PJ et Loïc, respectivement à la guitare et à la basse, profitent de la largeur de la scène pour faire valser leurs instruments dans tout  les sens.

Bien sûr, ce ne sont pas les titres phares qui manquent dans la setlist des Lokurah et des morceaux tels que « A Ordinary Psycopath » ou « Beyond The Pain » ne manquent pas de faire mouche, déclenchant par la même occasion de bons petits pogos ! Bref, Lokurah ne change pas ses habitudes : de la bonne musique, très bien jouée et qui donne envie de se jeter joyeusement et sans ménagement sur son voisin. Mais ce qui change ce soir, c’est le batteur qui bien qu’il n’y ait pas le moindre reproche à faire sur son jeu, m’intrigue depuis le début du set. Du coup c’est un grand « Mais oui ! Je suis c… » que j’ai lâché quand Julien nous a annoncé qu’il s’agit de Sydney, le batteur d’Atlants Chronicles qui remplace leur batteur habituel ce soir. C’est donc une coopération de qualité qui opère très bien dans un fracassant mélange de brutalité avec un brin de mélodie. Les Lokurah nous quittent sur un magnifique « When The End Comes » laissant la place à Smash It Combo sous l’acclamation du public.

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Setlist:

  • The Time To Do Better
  • My Own Death
  • An Ordinary Psycopath
  • Salvation
  • Beyond The Pain
  • Against The Stream
  • Irradiatd
  • Cadaver 9
  • Bleed
  • When The End Comes

Smash It Combo

_MG_4198Voici venu la découverte de ce jour : Smash It Combo. Quoiquecestqueca ? Prenez du Hardcore, rajoutez-y une bonne pincée de paroles rapées (comme les carottes) et vous avez déjà un groupe qui sort facilement du lot. Et oui, Smash it Combo se révèle être un savoureux mélange de grawl, de rap et de Metal bien agressif mais ce n’est pas tout. Contrairement à une grande partie des groupes que l’on écoute dans le milieu, les thèmes de prédilection de Smash It Combo ne sont pas la mort, la guerre, le désespoir et Satan. Non, ici le message s’adresse plus particulièrement à la génération « 8-bit » et toutes celles qui ont suivit ! Gammers, geeks, nerds, voici de quoi nous parlent le groupe. Et ça tombe bien,  parce qu’apparemment nous sommes nombreux à apprécier le mélange du monde virtuel avec notre musique préférée. Ce n’est pas parce que nous avons passé une bonne partie de notre vie devant un écran que nous n’aimons pas la bonne musique, ni même que l’on manque d’énergie lorsque nous montons sur scène. Très vite, ce vieux préjugé du geek boutonneux bidonnant à lunette se voit encore une fois mis à mal par un groupe dégageant une énergie impressionnante sur scène. Rares sont les moments où les Smash It Combo ne bougent pas, ne font pas de grands mouvements, ne sautent pas ou même ne slamment pas. Et bien sûr, le public suit aussi et très vite c’est une foule compacte devant la scène qui répond aux moindres demandes des frontmen du groupe : chant, pogos, mosh, circle-pit, tout y sera passé. Bref, on fait la guerre et on ne la fait pas qu’à moitié ! Je rajouterais une mention toute spéciale à « Hardcore Gammer » qui a réussi à réunir tout cela en une seule chanson.

Smash It Combo aura joliment réussi à conquérir le cœur des Parisiens ce soir là, un groupe à voir et à écouter d’urgence si vous ne les connaissez pas encore.

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T.A.N.K.

_MG_4399Quoi de mieux pour finir un bon concert de rentrée qu’un petit coup de T.A.N.K. dans la figure ? Après avoir voyagé sur différentes scènes et festivals pendant l’été, les Think Of A New Kind sont de retours à la maison pour foutre le bordel.

Alors, bien sûr, il aura fallu attendre patiemment pendant un changement de plateau un poil long. Mais quel bonheur quand le set commence avec cette intro sobrement intitulée « Intro Hellfest ». Un petit air de vacances qui fait du bien. Enfin, cela ne dure qu’un temps puisque le groupe à décidé de nous mettre une bonne baffe dans nos trombinettes de métalleux à l’aide d’un « The Raven’s Cry » qui atteint sa cible en plein dans le mille. Voilà, le concert est lancé et pour le public ce sera pogo, slams et cornes du diable pendant l’intégralité du set. Coté scène, est-ce vraiment nécessaire de vous redire encore une fois que les T.A.N.K sont taillés pour la scène ? De Raf Pener qui assure son rôle de frontman à 200% à Olivier d’Aries qui est un des bassistes les plus énergiques que j’ai vu, l’intégralité du groupe se donne à fond.

Coté setlist, c’est un enchaînement de tueries auquel nous avons à faire et nous aurons du mal à trouver un petit moment pour se reposer. Un set intense d’environ 45 minutes avant que le groupe ne quitte les planches après une apothéose sur « Brother In Arms ». Mais rapidement, les Think Of A New Kind reviennent sous les projecteurs pour un rappel de toute beauté avec « Life Epitaph » et  « It Bleed Inside ». C’est donc sur un set magnifiquement bien conclu que nous laissent finalement les T.A.N.K, invitant ceux qui n’en avaient pas encore assez à venir faire une after dans un bar voisin.

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Setlist :

  • Intro HellFest
  • The Raven’s Cry
  • Inhaled
  • T.A.N.K. 09
  • Beautiful Agony
  • Spasm Of Upheaval
  • Disturbia
  • Unleash The Carving
  • Brother In Arms

rappel :

  • Life Epitaph
  • It Bleed Inside

Merci à l’association Tout En Riff pour cette superbe date qui vient magnifiquement ouvrir cette saison 2013-2014 de concerts parisiens durant laquelle on ne peut espérer qu’une seule chose : pouvoir assister à de très nombreuses soirée d’aussi bonne qualité que celle-ci !

Eladan

Il est parfois difficile de trouver l’endroit où aller pour voir de bons festivals de Metal sans sortir de l’île de France. C’est même impossible me direz-vous. Et bien non ! Grâce à l’association Esprit Rock, se tient tout les ans le Triel Open Air, comme son nom l’indique, à Triel sur Seine dans les Yveline. Certes, ce n’est pas vraiment « au plus près » pour les parisiens qui rechignent à franchir le périph’ mais c’est quand même à portée de RER. Alors, maintenant que la proximité de la capitale est fixée, intéressons nous au plus important : le festival en lui-même.

Triel

Bien sûr, nous sommes loin des grands festivals de l’été qui amènent des centaines de milliers de personnes. Ici, le terrain sur lequel se trouve le Triel Open Air fait approximativement la taille d’une « petite » scène du Hellfest, camping comprit. Mais bien imprudent est celui qui mesure la qualité à la taille de la scène. Entre la scène, le camping, l’espace restauration, le merch et le camping, tout les éléments des plus grands sont déjà réunis. On retrouve là le soucis du détail qu’Esprit Rock nous avait déjà fait savourer lors du Warm Up 2013 en mars dernier.

Pervert Asshole

_MG_0447Après quelques petits soucis techniques et donc un peu de retard sur les horaires prévus, c’est à Pervert Asshole d’entamer les hostilités. Avec un nom pareil (« trou du cul pervers » en français) autant vous dire que le groupe n’est pas d’une grande subtilité dans ses propos et fera fuir les mamies les moins endurcies… Ha, ça tombe bien, il n’y avait pas de mamie !  Il n’y avait pas non plus foule devant la scène, mais les metaleux présents pour ce début de festival ne se feront pas priés pour entrer dans le jeu du groupe.

Dans l’ensemble, le son est plutôt médiocre. On sent que les techniciens font comme ils peuvent avec la matériel vieillissant mis à leur disposition, mais les débuts sont un peu chaotiques.  Ce petit défaut va heureusement se résorber au fur et à mesure du set. Malgré ces petits problèmes techniques, Pervert Asshole nous aura délivré un set de bonne qualité avec un humour des plus cru mais après tout, c’est parfois la meilleure façon de rire !

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Kopper8

_MG_0539Kopper8 c’est quoi ? C’est un peu la question que l’on se pose lorsque les quatre musiciens montent sur scène. On se prend vite à être induit en erreur par la dégaine du chanteur qui à l’attirail complet du paganeu, par le pantalon treillis du bassiste qui fait vite penser à la scène « core » ou encore par le crane rasé du guitariste, très Kerry King. Bref, on ne sait pas vraiment à quoi l’on a à faire. Mais Kopper8 ce n’est ni l’un ni l’autre de ces styles, c’est un bon gros Death sans compromis ! On n’ira pas jusque à dire que c’est révolutionnaire mais la musique est bien équilibrée et ça envoie bien.

Coté public, on ne se plaint pas, je dirais même que ça bouge pas mal. Il n’y a toujours pas énormément de monde sur le site du festival, mais devant la scène se tient quand même une fosse digne de ce nom qui rend bien au groupe l’énergie qu’il dégage sur scène.

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Deadly Fist

_MG_0619C’est sans transition que l’on passe du Death de Kopper8 au gros Hard Rock de Deadly Fist. Et on peut dire que du Hard Rock, ils ont prit la musique, mais aussi l’esprit ! C’est un set endiablé qui se tient devant nous avec des bêtes de scène sortis tout droit des années 80 ! On est très vite frappés par la voix de Vincent (qui assure aussi la basse) mais ses compères Axl et Brad ne sont pas en reste et nous montrent bien que la guitare est l’instrument rock par excellence. Les deux guitaristes ont assuré un jeu de scène de tous les diables, ne restant pas plus de quelques minutes sur place, courant d’un bout à l’autre de la scène, sautant et même se tombant l’un sur l’autre ! La bonne humeur est là et ça se voit !

Le groupe joue certes une musique un peu « calme » pour un festival de Metal (on est loin du gros bourrinage de Pervert Asshole) mais a parfaitement trouvé sa place au sein de ce Triel plein d’énergie, de bonne humeur et de convivialité. Il s’agit d’un quatuor dont les lives sont à consommer sans modération.

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Lutece

_MG_0657Le quatrième groupe à jouer sur ce festival n’est autre que les parisiens de Lutece et leur « Epic Black Metal ». Qu’est ce qui se cache sous cette dénomination ? Un groupe bien en place qui nous balance une musique aux confluents du Black et du Death avec une petite dose de Pagan pour couronner le tout. Il est difficile de ne pas nommer Ex-Deo tant les deux groupes peuvent se ressembler et il y a de fortes chances que si vous aimez l’un, vous aimiez l’autre. Mais attention, il ne s’agit pas d’un « Ex-Deo-like » mais d’un groupe talentueux qui nous invite à explorer son univers musical, riche et varié, par un set d’une grande qualité !

On notera le pied de micro très classe du chanteur, orné de crânes humains. On ne peut d’ailleurs pas vraiment reprocher au groupe sa scénographie. En effet, les musiciens sont bien installés sur scène et nous livrent un show de qualité où chanteur, guitaristes et bassiste occupent le devant de la scène avec une grande aisance.

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NightCreepers

_MG_0743Nous avions déjà un poil de pagan dans la musique de Lutece mais avec NightCreepers, nous tombons directement dans le Folk pur et dur. Armés de guitares, basse et batterie mais aussi d’un accordéon et d’un clavier, le groupe nous démontre vite qu’ils ont un objectif : nous faire danser sur des chansons au rythme endiablé et aux mélodies joyeuses. Les danses d’antan sont très vite revisitées par la public du Triel Open Air, avec un succès souvent mitigé mais une très bonne ambiance dans la fosse.

Sur scène, on ressent bien que le groupe débarque d’un autre siècle et de divers peuplades autour du monde : peaux de bêtes, protections de cuir, kilts et torses nus, une grande partie des peuplades guerrières d’autrefois est ici représentée. À tel point que l’on peut se demander si ce n’est pas un peu trop ? De même, la musique soufre par moment de quelques automatismes, comme une utilisation intensive et répétitive de la double pédale et le clavier se fait souvent timide, cherchant un peu sa place parmi ces bêtes déchainées. Mais qu’importe, les NightCreepers font du Folk Metal, ils le font bien et ce n’est pas pour déplaire au public qui suivra avec entrain et aura sans doute dépensé nombre de calories à danser devant la scène.

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T.A.N.K.

_MG_0811Les T.A.N.K. n’en sont pas à leur premier live et ça se voit tout de suite. À peine une semaine après leur prestation au Hellfest, le groupe n’a aucun mal à enflammer la fosse du Triel Open Air ! D’ailleurs, leur public était au rendez-vous, assez visibles grâce au Tee-shirts blancs « T.A.N.K. Hellfest ».

Globalement, les Think Of A New Kind ne ménagent pas nos cervicales avec des titres tels que « Brothers In Arms », « Beautiful Agony » ou encore « Spasm Of Upheaval ». Autant de petites bombes que le groupe à déjà à son actif. C’est donc une setlist pleine des hits du groupe à laquelle nous avons droit.

Sur scène, ça bouge. Les guitaristes Nils et Symeris se promènent d’un bout à l’autre de la scène en headbangant, tandis qu’au chant, Raf n’hésitera pas à aller chanter sur la barrière au plus près du public, des pogos et autres slams. Nul doute que le groupe aura conquis même les personnes les plus réfractaires du public, si tant est qu’il y en ait.

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No Return

_MG_0914Soyons francs, No Return n’a pas attiré mon attention plus que ça. Et oui, tout les goûts sont dans la nature. Même si le groupe assure très bien sur scène et que le public leur assure un très bon accueil, leur musique ne m’a pas touché plus que ça. Assez répétitif et un style de chant qui m’a paru peu recherché. Le groupe officie dans un registre Death/Thrash assez classique mais pour le moins efficace. Les musiciens ont une très bonne prestance sur scène et le public leur rends bien. Dans la fosse il y a des pogos à profusion ! D’ailleurs, cette fosse qui était plutôt vide pour un festival commence doucement à se remplir. Nous parlons d’environ 300 personnes et plus le soleil se couche, plus les festivaliers affluent !

D’ailleurs, en parlant du soleil qui se couche, je n’ai pas parlé de la lumière sur scène qui, entre couché de soleil et spots donne un éclairage magnifique et surréaliste aux parisiens de No Return !

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La journée commençait à bien avancer et j’ai profité du changement de plateau pour aller faire un tour sur le stand restauration et buvette du Triel Open Air. Et sur ce point, Esprit Rock a encore très bien fait les choses : que ce soit pour manger ou pour accéder à notre précieuse boisson maltée que l’on surnomme bière, une dizaine de bénévoles sont là pour s’assurer que les festivaliers ne manquent de rien. Nous aurons même le droit de déguster notre binouze dans des pintes à l’effigie du festival. Bref, c’est la grande classe et ce sera du plus bel effet, rangé dans nos placards entre les flûtes à champagne et les verres à shots !

The Arrs

_MG_0934Ça y est, la nuit est presque tombée, c’est le moment où commencent véritablement les hostilités. Et ça tombe bien puisque c’est au tour de The Arrs de monter sur scène !

On sent tout de suite une différence de niveau, le groupe respire l’assurance et la maitrise de la scène. Leur Deathcore à plein pot dans les enceintes vient remuer le public qui ne demande que ça pour pogoter dans la joie et la bonne humeur qui caractérisent ce Triel Open Air. Synchronisation et énergie sont maîtres mots sur scène. Pas une minute la pression ne sera retombée durant tout le set des The Arrs.

J’ai beau regarder un peu partout mais je trouve finalement peu de gens qui ne réussissent pas à accrocher au concert et il faut dire, avec des titres tels que « Mon Epitaphe » ou l’excellent « Du berceau à la tombe » qui viendra clore ce concert, difficile de rester de marbre.

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Dagoba

_MG_1002The Arrs à placé la barre très haut mais c’était sans compter sur la venue des marseillais de Dagoba juste après. Et oui, au Triel Open Air, on sait monter le niveau très haut !

Malgré un changement de plateau assez long, les changements de plateaux étant quand même l’un des détails que l’on peut reprocher au T.O.A., l’ambiance s’installe tout de suite avec une courte intro instrumentale. Mais le groupe n’est pas là pour nous endormir et envoie à plein régime ! Que l’on connaisse déjà le groupe ou pas, nous sommes très vite pris par cette musique particulière où se mélangent l’énergie, la mélodie et la brutalité !

Le groupe est visiblement très content de venir jouer en région parisienne et de ce que l’on peut voir de la fosse, qui est assez peu éclairée, le public est en transe.

On retiendra d’excellents morceaux comme ce « Black Smoker » tout à fait hallucinant ou « The Great Wonder » qui en auront scotché plus d’un. Bref, un vrai régal !

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Après ce set endiablé de Dagoba, il était temps pour moi de reprendre la route, ne pouvant malheureusement pas assister au second jour de festival qui pourtant, annonçait de si belles promesses avec entre autres Klone ou Black Bomb A. Mais ce fut déjà une excellente journée qui malgré quelques détails techniques, a permis à de nombreux métaleux d’avoir un très bon festival à deux pas de chez eux. Encore merci à Esprit Rock pour cette très bonne organisation ! Ce Triel Open Air 2013 était une vraie réussite et le parc aux étoiles où il a lieu, je suis sûr, n’a jamais aussi bien porté son nom qu’en ces jours de festival.

Eladan